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METEOFRANCE - Retrouvez les prévisions METEO AIGUILHE de Météo-France pour aujourd’hui, demain et jusqu’à 15 jours, ainsi que les prévisions météos locales par heure et les prévisions de pluie.Prév sur 10 joursPrévisions détailléesSymbole météo quotidienLe symbole météo quotidien donne un aperçu de la météo entre 7 h et 18 h. La météo du soir ou de la nuit ne s'affiche pas sur le symbole. Le nombre de gouttes de pluie sur le symbole météo quotidien représente la quantité totale de précipitations de ce jour. La pluie peut être une pluie légère qui tombe pendant une période plus longue, ou une forte pluie de courte durée. Vous pouvez voir de manière précise le moment et l'intensité de la pluie dans les prévisions horaires. La nébulosité sur le symbole météorologique quotidien est calculée comme une moyenne pondérée de la nébulosité prévue de ce jour, la plus grande partie étant attribuée aux heures de l' quotidiennes, informations sur le vent et précipitations totalesContrairement au symbole météo quotidien, les températures, les informations sur le vent et les précipitations totales prennent en compte toute la journée de 24 heures. Les prévisions de vent indiquent la vitesse moyenne du vent la plus forte attendue sur 10 minutes au cours de la journée. Veuillez noter que les rafales de vent peuvent être de 1,5 à 2,5 fois plus fortes que la vitesse moyenne du vent de 10 minutes. Les prévisions de précipitations totales donnent les précipitations totales attendues pour toute la journée de 24 heures. Les chutes de neige totales se réfèrent aux chutes de neige provenant des nuages et ne tiennent pas compte de la fonte, du tassement ou de la dérive de la neige locale. Ces facteurs font que la quantité de neige au sol augmente moins que la quantité de neige tombée. Les températures ont également une incidence sur la quantité de neige au sol. Si la teneur en eau de la pluie reste constante, plus le temps est froid, plus la couche de neige qui tombe au sol s' exemple, à des températures s'approchant du gel, les chutes de neige contenant un quart de pouce d'eau forment une couche de neige de 2,5 pouces d'épaisseur sur le sol, mais, à des températures autour de -5 degrés Fahrenheit, la même quantité d'eau forme une couche de neige de 5 pouces d'épaisseur. Par exemple, à des températures s'approchant du gel, les chutes de neige avec une teneur en eau de 10 millimètres d'eau forment une couche de neige de 10 centimètres d'épaisseur sur le sol, mais, à des températures autour de -20 degrés Celsius, la couche formée par la même quantité d'eau est de 20 centimètres d' précipitations totales sont données en pouces. Si les précipitations tombent sous forme d'eau ou de grésil, les précipitations totales sont indiquées en millimètres. En cas de chute de neige, les précipitations totales sont indiquées en à 28/08 147 AM 0147 MétéoLe Brignon - Prévisions météorologiques à 14 jours. Les données sur la météo: température, pluie/neige, vent, humidité, pression, pour Le Brignon
Un printemps relativement sec et un été caniculaire ont entraîné une perte de récolte en Haute-Loire estimée entre 40 à 70 % selon les secteurs, entre les fourrages, céréales, maïs… Tel est le premier bilan que dresse la Chambre d’agriculture. Les vallées de la Loire et de l’Allier seraient les plus touchées, avec des terrains parfois plus exposés résistant moins aux fortes chaleurs. À cela s’ajoutent les déficits pluviométriques. La fin d’année sera très compliquée pour la plupart des agriculteurs "Il s’est ramassé peu de foin dans les territoires les moins bien lotis. Côté rendements en céréales, il y a eu des 20 quintaux en orge et en blé, des rendements que l’on a rarement vus. Forcément, on a récolté moins de paille", constate le président de la Chambre d’agriculture de Haute-Loire, Yannick Fialip. Côté lentilles vertes du Puy, les premières tendances laisseraient entrevoir des rendements médiocres d’à peine 5 quintaux, un peu supérieurs toutefois à 2021 où le rendement sur la zone d’appellation était à 3,5 quintaux/hectare. Quelques agriculteurs n’auront rien récolté. C’est le cas d’Isabelle et Jean-Baptiste Hébrard, de la ferme des Ampoans Saint-Christophe-sur-Dolaizon qui annonçaient la mauvaise nouvelle à leurs clients sur le marché du Puy, samedi dernier. Les producteurs bios pratiquent la vente directe. Début août, les ensileuses étaient dans les champs, à la place des moissonneuses. "Les maïs n’ont carrément pas levé à certains endroits, d’autres n’ont pas pu faire la fleur. Les rendements seront par conséquent très faibles et la qualité ne sera pas au rendez-vous, du fait de l’absence de grains. On a constaté des ensilages de maïs avant le 15 août. Du jamais vu !", constate amèrement Yannick Fialip. Des parcelles qui n’ont pas encore été ramassées ne le seront peut-être jamais. Tout a séché sur pied. Sécheresse des mesures de soutien pour les agriculteurs en Haute-Loire Des maïs de faible valeur Philippe Pommier, entrepreneur de travaux agricoles à Saint-Vincent a commencé les ensilages de maïs au début du mois. "Les épis n’ont pas de grains, ils n’ont pratiquement pas de valeur", confirme-t-il. L’humidité de ces derniers jours permettra malgré tout d’ensiler. On coupe plus fin pour garantir une meilleure conservation. Sur la vallée de la Loire, on rencontre peu de belles parcelles. À Labroc, commune de Saint-Vincent, un champ tranche par sa belle couleur verte. Le semis a été tardif après un orge d’hiver. Il n’est pas certain que le maïs parvienne toutefois à maturité suffisante. À quelques kilomètres de là, à Lavoûte-sur-Loire, le constat est le même pour Bernard Chanut. La récolte de maïs est mauvaise pour lui aussi. De surcroît, il n’y a pas eu de deuxième coupe d’herbe, des rendements de céréales réduits de moitié… L’agriculteur a pu compter sur les réserves de fourrage de l’an dernier, mais a perdu entre 20 et 30 % de production laitière. Il passera l’hiver, "à condition d’acheter du concentré". Maigre consolation plus haut, à Saint-Paulien ou Saint-Geneys-près-Saint-Paulien, des champs ont un peu meilleur aspect. Les yeux rivés sur le foin de Luzerne La fin d’année sera très difficile pour la plupart des agriculteurs. La sécheresse généralisée dans toute la France fait qu’il se trouve peu de fourrage sur le marché. Le maïs n’est pas introuvable, mais à 110 €/tonne de matière verte rendue chez l’éleveur, contre 50 € en temps normal. Et quand ce n’est pas le cas, les prix sont prohibitifs, d’autant plus que le gasoil est très cher. Trouver du fourrage à 400 ou 500 kg est une chose, le ramener en Haute-Loire en est une autre, regrette Yannick Filiap. Les achats groupés sont compliqués, y compris pour la paille, même si le marché n’est pas trop spéculatif. On met en relation des éleveurs avec des marchands. Beaucoup d’exploitants en Haute-Loire se tournent vers le foin de luzerne cette année qui vient du grand Est ou du Sud de la France. Face au coût de l’électricité pour faire des bouchons de luzerne, des opérateurs renoncent à transformer la luzerne. Les dernières pluies ont redonné un peu d’espoir aux agriculteurs, qui peuvent se tourner vers la culture de dérobées en ce moment. Certains se sont lancés dans les semis de ray-grass ou d’avoine récoltables autour de la mi-octobre, "en espérant avoir un automne relativement clément et un hiver pas trop précoce permettant de faire des récoltes et ainsi de compenser un peu le manque de fourrage habituel", ajoute Yannick Fialip. Les prairies que l’on a vues reverdir offrent un garde-manger aux animaux, vaches taries, génisses. On remarquait partout ces dernières semaines des râteliers dans les champs pour nourrir les bêtes. Sans parler des problèmes d’abreuvement ! Un certain nombre de prairies naturelles sur des terres superficielles ne reverdiront pas cet automne. "Y compris au printemps prochain, on risque de se retrouver avec des prairies relativement clairsemées", craint le président de la Chambre. Les producteurs du Mézenc sont inquiets, car en zone d’altitude, les températures risquent de baisser rapidement et donc de limiter la pousse d’herbe. Le secteur a quand même un peu limité la casse au printemps. Les cultures de dérobées ne rattraperont pas la perte Les conseillers de la Chambre d’agriculture ont prodigué des conseils en matière de semis de dérobées, de gestion des effectifs d’animaux avec des réformes plus précoces. Concernant les dérobées, il est reconnu qu’après le 15 août, les températures ne sont plus suffisantes en altitude pour produire assez de biomasse avec des colzas fourragers ou légumineuses. Les coûts de production des dérobées sont alors trop élevés. Si les semis sont impossibles avant le mois de septembre, il convient de se reporter sur des espèces à implantation plus rapide comme le seigle, l’avoine ou le ray-grass italien. Le trèfle incarnat peut aussi s’accommoder de semis plus tardifs, jusqu’à la première quinzaine de septembre. Mathias Déroulède, technicien spécialisé herbe et cultures à la Chambre d’agriculture, reste réaliste Ces cultures ne rattraperont pas totalement la perte de cet été. Pour faire face à cette situation exceptionnelle, le régime des calamités agricoles sera ainsi mobilisé, "de la façon la plus rapide possible", a annoncé lundi le ministre de l’Agriculture, Marc Fesneau qui dressait un point d’étape, et annonçait une première série de mesures pour aider le secteur agricole à surmonter la crise. Des enquêtes avec passages dans les fermes en présence des représentants de la profession et de l’administration sont attendues pour début septembre de manière à monter le dossier des calamités qui sera déposé en octobre ou novembre auprès du comité national des calamités agricoles. "Il faudra forcément donner des signes d’encouragement par des aides financières afin d’éviter des arrêts d’activité, réagit Yannick Fialip et d’ajouter. On est interrogatif sur les prix du lait face à des entreprises ayant du mal à rémunérer convenablement les producteurs. La moyenne est autour de 420 ou 430 €/tonne. Il faudrait bien plus pour faire face aux coûts. On est en décalage par rapport à la moyenne européenne qui est supérieure à 500 €." Quelles solutions pour l’avenir ? Yannick Fialip travaille avec la FNSEA sur l’émergence d’un nouveau système d’indemnités, un mix entre assurance privée et fonds publics. Je pense que tout le monde a bien pris conscience des difficultés de l’agriculture et du secteur de l’élevage face au changement climatique. "Tous les agriculteurs se verront adresser une proposition par leur assureur dès l’hiver prochain, ce qui ne réglera qu’une partie du problème. Il faut avoir des pistes techniques pour rendre les exploitations plus résilientes face à la canicule. Cela passe par les nouvelles variétés, la diversité des assolements, avec des périodes de récoltes différentes, au printemps et à l’automne. Il faut aussi travailler sur le stockage de l’eau. On travaille sur l’orientation des bâtiments d’élevage. On cherchait jusqu’ici à se protéger du froid, désormais, c'est de la chaleur." Dans les silos des collecteurs de lentilles, le compte n’y est pas La récolte de lentilles vertes du Puy est très médiocre. Les années se suivent et se ressemblent, malheureusement. Les rendements ne sont pas au rendez-vous cet été. Bruno Gagne, représentant d’Eurea coop, responsable du silo de Landos s’attend à des rendements moyens sur le plateau volcanique en fonction de ce que le collecteur a rentré jusqu’ici, entre 4 et 5 quintaux. Une belle qualité de produit Si à Rauret, la moyenne s’établit autour des 7 quintaux, quelques parcelles ont atteint les 11 quintaux à Saint-Paul-de-Tartas, plus rares sont les parcelles à 15 quintaux. À Cayres ou Le Bouchet-Saint-Nicolas, un orage au moment de la floraison a permis à des producteurs d’approcher les 15 quintaux, idem pour Saint-Jean-Lachalm. Une plante méditerranéenne comme la lentille a donc malgré tout besoin d’eau. Or de précipitations, la légumineuse en a manqué. Le plus souvent, les fortes chaleurs ont desséché les gousses. Sécheresse, grêle... Les récoltes sont dérisoires en Haute-Loire Bruno Gagne constate toutefois "une belle qualité de produit", surtout au niveau de la couleur. Un peu avant le 15 août, le gros de la récolte avait été rentré, pour ce qui est des semis d’avril. Les lentilles ensemencées plus tard, aux alentours du 15 mai, derrière des ray-grass ou des méteils ne sont donc pas parvenues à maturité. Ces lentilles ont été semées sur une terre sèche et n’ont pas levé ou seulement fin juin avec l’orage qui a donné 50 litres. Les producteurs ont perdu un mois, voire un mois et demi. Ces semis tardifs généralement de petits lots sont encore verts et ne se récolteront pas avant une quinzaine de jours, peut-être davantage. Les toutes dernières lentilles risquent de manquer de chaleur. Les collecteurs du plateau vont sans doute rentrer des légumineuses insuffisamment sèches. Antoine Wassner Sabarot "On a pu arrêter l’hémorragie" Antoine Wassner, PDG de la société Sabarot, estime que le plan régional pour sauver la filière lentille en Haute-Loire a permis "d’arrêter l’hémorragie". hectares de lentilles ont été emblavés en 2021, cette saison. "Les aides à l’hectare mises en place pour cinq ans ne seront accordées cette année 2022 que si on sème à nouveau l’an prochain", rappelle Antoine Wassner qui a toujours été un ardent défenseur de la légumineuse, importante à la société de Chaspuzac en termes d’image. Les collecteurs ont reçu moins de céréales "On fera cette année, quelques gros chèques et d’autres beaucoup plus petits", constate le responsable. Alors que certains producteurs ont livré il y a quelques jours à peine 300 kg, d’autres avaient le sourire aux lèvres avec des 15 ou 16 quintaux. La lentille verte, reste le jackpot, avec des prix de à euros la tonne ! Mais le Plan lentilles proposé par le président de région Laurent Wauquiez et les aides la PAC Politique agricole commune suffiront-ils à convaincre les quelque 560 producteurs à repartir l’an prochain, voire à faire progresser ce chiffre ? Surtout, alors que ces mêmes producteurs risquent de manquer de fourrage cet hiver… Un plan de la Région de 2,5 M d’euros pour aider la lentille verte du Puy Les collecteurs Sabarot, Eurea Coop, Trescartes ont réalisé des investissements qu’il faut rentabiliser. Sabarot, en particulier, a conçu un centre ultramoderne de collecte à Landos, il y a six ans. Les collecteurs ont reçu aussi cette année moins de céréales, les exploitants préférant les garder pour la consommation de leurs animaux ou les vendre en cas de surplus. "Ce qui fait notre force, c’est que nous avons su nous diversifier", assure Antoine Wassner. La société a misé ainsi sur le petit épeautre du Velay "qui fait plus de volume que la lentille". L’objectif pour cette "nouvelle" céréale étant de s’approcher rapidement des tonnes. Philippe Suc
Prévisionsmétéo a Le Puy-en-Velay - 15 jours. Principale ; Cataloge de pays; Climat; Prévisions météo a une longue echeance a Le Puy-en-Velay pour 15 jours. France / Auvergne / Le Puy-en-Velay. Maintenant °C. Vent, m/s Humidite, % Pression, mm Hg . 5 jours; 10 jours; 15 jours; Mois; Widget; Ensuite. Ensuite. me: 24.08 °C °C jeu: 25.08 °C °C ve: 26.08 °C °C sa: Le Puy-en-Velay, France Prévisions météo à 10 jours des villes à travers le monde. Les villes disponibles sont représentées par des disques rouges sur la carte. Passer la souris dessus pour voir le nom de la ville. Cliquer dessus pour voir les prévisions météorologiques. Pour changer de carte cliquez sur les boutons verts avec une croix noire pour zoomer, sur le bouton vert avec un tiret pour effectuer un zoom arrière, ou sur les flèches vertes pour les cartes adjacentes.Toutela météo détaillée à Le Puy-en-Velay pour aujourd'hui et les 15 prochains jours. Retrouvez heure par heure la température, l'humidité, la