AMIQUI NE VOUS VEUT PAS QUE DU BIEN ACADÉMIE NATIONALE DE PHARMACIE 6 FÉVRIER 2019 PR MARIE-JOSE BUTEL UMR-S 1139 FACULTÉ DE PHARMACIE UNIVERSITÉ PARIS DESCARTES, ET INSERM. Le miroiote assoié à l’homme = un éosystème complexe 2 •L’homme = 1013 cellules eucaryotes et 1014 cellules procaryotes Savage 1970 •Données J'ai la chance d'avoir très peu d'amis. Yup, t’as bien lu. J’ai un petit cercle d’amis proches et ce n’est qu’avec eux que je peux être absolument et totalement vulnérable. Ces amis respectent et admirent ma capacité à être vulnérable. Ils sont patients, ils me voient me débattre avec mes nuages sombres, mes doutes, mes peurs, ma colère, mon pas beau. Et quand je trouve une solution, quand je règle un problème, quand je sors du nuage, quand j’accomplis quelque chose, ils sont là pour être heureux avec moi. Quand une amie ne va pas bien, peu importe la raison, ça peut parfois être overwhelmant pour soi aussi. C’est difficile de voir quelqu’un qu’on aime filer un mauvais coton. On s’investit tout le temps de la mission de régler son problème à tout prix, de lui fournir douze mille solutions, de lui dire à la va-vite des phrases standards, puis se dépêcher à changer de sujet. Si jamais tu cherches à savoir comment être là de façon significative pour quelqu’un qui souffre, je t’offre un guide de départ que m’ont inspiré mes merveilleux amis. Tout d’abord, je te suggère fortement de regarder ce vidéo. C’est un rappel important de ce qu’est réellement l’empathie. Et de ne jamais commencer une phrase par "Au moins…" Ark. L'idée, c'est de lui rappeler que tu l'aimes, que tu es là pour elle, que tu ne la juges pas, que tu voies sa peine comme étant réelle et valide. 1. Accepte la possibilité que ton amie ne veuille pas parler de ce qui la rend est peut-être encore trop émotive. Elle n'a peut-être pas encore tout enregistré et digéré ce qui se passe. C'est peut-être le mauvais moment. Elle est peut-être tout simplement épuisée de ressentir toutes ces émotions. Contente-toi de lui dire que tu l'aimes et que tu seras là pour elle quand elle voudra parler. 2. Accepte la possibilité que ton amie ne veuille voir personne et souhaite rester a beau avoir un niveau d'intimité élevé avec quelqu'un, il y a quand même des moments où une fille a besoin d'être dégueulassement triste toute seule pleurer fort à gros sanglots, morver sans retenue, passer 3 jours de suite dans le même pyjama avec les cheveux gras, etc. Ne le prends pas personnel si ton amie souhaite gérer ses trucs seule. Il est aussi très probable qu'elle annule des activités à la dernière minute sous divers prétextes. Des fois, on sait qu'on ne sera pas du monde même si on essaie fort. Sois que tu l'aimes et que tu seras là pour elle quand elle le voudra. 3. Fais des vérifications régulièresUn petit pop-up sur Facebook chat à tous les 2 jours, juste pour demander "Comment te sens-tu aujourd'hui?" Le "aujourd'hui" est important parce que ça montre que tu sais que ça change d'une journée à l'autre. Ça sonne aussi plus intéressé qu'un simple "Ça va?". 4. Des fois, juste ne rien faire ensemble, c'est bon pour l' juste ceci à dire sur le sujet marathon de Buffy sur Netflix.En cotons ouatés assortis Pony Mtl, ça va de soi. 5. Rappelle-lui doucement que tu es là et que tu te soucies d' à manger. De la soupe. Laisse-lui un paquet de biscuits aux brisures de chocolat maison sur son une promenade, une marche autour du bloc. Fais-lui une playlist de chansons douces et pleines d'espoir. Offre-lui un livre de Pema Chödrön. PS il arrive parfois que ton instinct d'amie soit titillé par un mauvais feeling. Si jamais tu sens que ton amie s'enfonce de plus en plus, ton amitié ne sera peut-être pas assez. Voici deux ressourcesRevivreSuicide Action Avez-vous des amis qui prennent soin de vous?
Google un ami qui ne vous veut pas que du bien - Livre - Le but de cet essai choc est de proposer à ces lecteurs une enquête inédite et rigoureuse qui alerte le grand public sur l'hégémonie radicale d'un entreprise dont me souhait avoué est de contrôler toute l'information du monde .En huit chapitre thématiques, ce livre démontre comment Google tisse la toile d'un
AuteurMessageBoulezailAdminMessages 212Points 551Réputation 0Date d'inscription 17/08/2009Localisation MontréalHumeur ... comme disait mon grand-père ...Un ami qui vous veut du bien Si nous avons l'impression de ressentir une dépendance vis-à-vis d'un ami qui nous soutient, c'est parce que ce n'est pas un ami. C'est un profiteur. Et c'est aussi vrai au féminin. Il faut fuir cet individu, par tous les moyens qu'il nous reste, quitte à ramper ...Un véritable ami nous soutient avec le même but que nous que nous retrouvions, le plus rapidement possible, notre capacité à voler de nos propres fait, la dépendance ne vient pas de celui qui demande de l'aide, bien souvent, mais de la personne qui "nous tend la main". C'est une personne dépendante des gens momentanément en difficulté, vulnérables et qui seront à sa dépendance mutuelle qui s'installe, c'est précisément "la dialectique du maître et de l'esclave" décrite par est aussi vrai, bien sûr on vous demande votre aide, souvent à un moment de votre vie où vous n'en trouvez plus le sens, et on s'incruste pour profiter de cette faille. Paradoxalement, vous ressentez une dépendance vis-à-vis de l'aidé, sans trop comprendre les deux cas, on cherche à vous culpabiliser et abuser de votre bonne volonté dans le premier cas, votre bonne volonté de montrer, prouver vos efforts, vos progrès et votre reconnaissance, dans le second cas, votre bonne volonté d'aider, de démontrer votre qu'il y a de nouveau, c'est que dans un monde hyper-individualiste et arriviste, ces comportements se sont tellement généralisés, qu'ils sont devenus normaux. Généralement l'aidant est appelé le "winner", et l'aidé est appelé le "looser". Dans le cas où l'aidant cherche un sens à sa vie, il devient le "looser", et l'aidé profiteur, le "winner", car dans un monde individualiste-arriviste, inutile de réfléchir car la vie n'a qu'un seul sens évident celui de l'argent, du succès, du toujours plus, du plus fort aux dents blanches, aux filles sexys et aux gadgets dernier plus, il y a l'éducation ou son absence. Avec des parents occupés à travailler à deux pour parvenir à réunir un seul salaire - eh oui, un autre cadeau du progrès et de la "société des loisirs" alors qu'autrefois un seul salaire était suffisant pour faire vivre une famille, lui offrir des vacances, économiser pour les études des enfants et pour s'acheter une petite maison pour la retraite, aujourd'hui deux salaires sont à peine suffisants pour payer un loyer minable et de la bouffe tellement dénaturée, qu'il faudrait en plus payer une fortune pour des compléments alimentaires, et de toutes façons, plus d'impôts pour payer un système médical qui ne fournit plus ...Je disais donc, pendant que les parents sont en train de travailler tous les deux - et parfois de se chercher un nouveau partenaire, car celui qu'ils ont n'est plus assez disponible ou trop usé -, l'Education, elle, incarne le rôle de la gardienne frivole de vos enfants en les oubliant un peu, trop occupée qu'elle est à jouer l'argent de vos impôts à la Bourse la loterie des riches. Il en résulte que vos enfants, eux, s'élèvent tous seuls et deviennent des petits sauvages sans instinct, sans culture, sans des règles sociales de base que même les singes dans la jungle sont capables d'établir. Autrement dit, vos enfants deviennent non seulement des sous-humains, mais des sous-animaux ... alors que dire des adultes qu'ils sont devenus ces trente dernières années ?"Mais c'est normal, c'est le progrès", comme chantait Nino "normal" ne signifie pas "acceptable".Alors, souhaitant que ce phénomène individualisme-arrivisme ne soit que passager et n'attende pas une catastrophe pour que l'Humain retrouve son instinct de coopération, continuons, pour ceux qui ont encore quelques notions sociales, à nous aider les uns les autres, tout en restant vigilant vis-à-vis de l'autre et aussi de soi-même où en est rendu le projet ? Est-ce que l'autre est satisfait ? Suis-je satisfait ? Ne pas hésiter à prendre le temps d'interroger soi-même et l'autre directement et clairement, sans détours, afin d'éviter à chacun de se faire du cinéma. Il est capital dans ce genre de situation d'être à l'écoute, autant de soi-même que de l'autre. N'écouter que son coeur, c'est romantique, mais cela ne peut mener qu'à de grosses déceptions de part et d' un contrat. Il n'est pas exagéré d'établir un objectif mutuel et une échéance très clairs dès le départ, et même par écrit, avec des vérifications de parcours régulières. Pourquoi ne pas se faire un "journal de bord" spécialement destiné à ce projet ? Diviser le projet en étapes, avec autant d'échéances ? Prendre en note tout changement de direction, etc. Si l'un des deux refuse ces précautions, laissez tomber immédiatement, et adressez-vous à quelqu'un d'autre, ou débrouillez-vous bien dit "si l'un des deux refuse ces précautions", cela inclut vous aussi. Pour deux raisons 1 il est si facile de devenir manipulateur dans une situation d'aide, que, même avec les meilleures intentions du monde et peut-être même, surtout avec les meilleures intentions, on peut se retrouver à attendre un quelconque retour de l'aide qu'on procure. Alors que le seul retour qu'on doit attendre en fait, dans cette situation, c'est la satisfaction de l'autre d'avoir atteint son but, en autant qu'il ne nuise à si on n'ose pas prendre de précautions car on craint le refus de l'autre, ou de le vexer, on ne devrait pas non plus oser lui demander quoi que ce soit, et plutôt s'adresser à quelqu'un d'autre avec qui il y aura moins de le répète, il ne faut surtout pas "écouter son coeur" ! Car c'est ce que tout bon manipulateur qui se respecte attend précisément de vous "Pourquoi ne me fais-tu pas confiance, écoute ton coeur, pourquoi toutes ces complications, fais comme moi, écoute plutôt ton coeur, moi je te fais confiance, etc ...". Un morceau de coeur bien juteux au bout de l'hameçon. Si vous mordez à cet appât, la casserole n'est pas loin ! Non seulement c'est vous qui êtes au menu, mais vous mijoterez longtemps avant d'en autre indice soyez vigilent à la quantité d'énergie que vous dépensez rien qu'à prouver votre bonne volonté, que vous soyez aidant ou aidé. Avec un échéancier bien tenu, vous éviterez les excès dévastateurs d'un aidant ou d'un aidé jamais satisfait ! C'est précisément dans cette insatisfaction que naît la dépendance de façon dit que les bons comptes font les bons amis. Ce vieux dicton est encore plus vrai aujourd'hui. Vous éviterez ainsi des semaines, mois et même années de souffrance, de ressentiment et même de haine, en plus d'avoir agravé votre soutient, l'aide, ne sont pas des rapports malsains en soi, bien au contraire. L'être humain vit en société pour cela. Ce qui est malsain, c'est la dépendance. Lorsqu'une personne bien intentionnée nous vient en aide, nous ne devrions pas ressentir de dépendance. Une société constituée d'individus autonomes qui collaborent entre eux, s'entraident occasionnellement, est beaucoup plus forte on ne se retrouve pas avec un jeu de dominos qui s'écroulent les uns sur les autres indéfiniment comme cela se produit partout dans le monde en ce plutôt, d'un côté, le plaisir de contribuer au bonheur de l'autre, et de l'autre côté, la reconnaissance envers celui qui nous a permis de continuer notre chemin. Mais c'est tout ce qu'il a à recevoir de nous, ou du moins à attendre. Nous ne pouvons lui rendre bien souvent, qu'en donnant à un autre, avec autant de désintérêt, à notre tellement plus gratifiant, non ?C'est seulement lorsque s'est instaurée une solide amitié que l'échange peut devenir de ce sujet m'a été inspirée par un bref échange entre Nathalie et Alexandre sur le blog de Christophe André_________________BoulezailIl suffit d'y croire
RT@RebelleCalme: Elle a dit "amis", c'était clair pourtant. Tes collègues sont pas tes amis ni potes et tu t'en rends compte vite. Sympathiser, avoir un bon contact ne veut pas dire être amis et c'est parce que certains vous confondez ça que vous tombez bien bas quand leur vrai visage se dévoile. 25 Aug 2022 22:22:08

L’OMS, dans un rapport publié le 30 avril, dénonce la difficulté des antibiotiques à traiter de plus en plus d’infections dans le monde ! Pourtant, leur arrivée dans la thérapeutique fut une révolution on ne mourait plus d’infection. Puis apparurent quelques échecs et l’on s’aperçut que les bactéries devenaient résistantes, par mutation ou par sélection naturelle. Les plus coriaces, minoritaires jusque-là, avaient le champ libre pour se multiplier à souhait. L’industrie pharmaceutique développa de nouvelles molécules et perfectionna celles issues du groupe initial des pénicillines, permettant ainsi de contourner les défenses des bactéries et de gagner à nouveau la partie. Mais progressivement, de nouvelles résistances bactériennes sont apparues, et nous sommes aujourd’hui en présence de souches qui ont le champ libre pour se développer, n’étant plus sensibles aux antibiotiques mis à notre disposition par l’industrie pharmaceutique. Les affections liées à ces bactéries résistantes ne constituent pas encore la majorité des infections, heureusement, mais sont extrêmement graves et de plus en plus souvent mortelles… La situation est devenue suffisamment préoccupante au niveau mondial pour que l’OMS se saisisse du problème et émette un rapport et des recommandations destinées à essayer d’éradiquer ces résistances. Favoriser le bon usage des antibiotiques pas d’usage systématique, adapter l’antibiotique à la souche, faire des traitements suffisamment longs, dépister les porteurs de souches résistantes afin de les isoler et de les traiter, inciter les dirigeants à investir dans la recherche dans un domaine où l’industrie pharmaceutique semble marquer le pas marché trop restreint, pour l’instant, pour justifier des investissements lourds ?. Souhaitons que ces mesures aboutissent, mais elles seront peut-être insuffisantes si elles ne sont pas complétées par d’autres d’ordre plus général éviter les univers concentrationnaires qui font le jeu des épidémies, que ce soit au niveau animal avec les élevages en batterie - grands foyers d’épidémie, faisant donc un usage immodéré des antibiotiques - ou au niveau humain où la promiscuité souvent hélas inévitable accélère le processus de contamination et de sélection des germes. Peut-être faudra-t-il aussi revoir la conception même de nos hôpitaux qui sont de plus en plus centralisés et donc fragilisés en matière d’infectiologie ? Mais il serait nécessaire d’aller au-delà de ces recommandations, d’envisager que les antibiotiques ne soient peut-être pas la seule arme contre les infections, et s’intéresser à d’autres moyens de lutte contre les bactéries, comme par exemple le firent les pays d’Europe de l’Est du temps de la guerre froide, où par manque d’antibiotiques ils développèrent la phagothérapie usage de virus bactériophages avec, semble-t-il, des résultats très encourageants. Les résistances bactériennes aux antibiotiques et le développement des infections surtout nosocomiales sont, depuis longtemps, évoqués dans le milieu médical. Espérons que ce récent rapport de l’OMS permettra de stimuler une prise en charge globale, non plus uniquement médicale, de ce qui n’est pour l’instant qu’un problème... mais qui peut devenir un fléau au niveau mondial.

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un ami qui ne vous veut pas que du bien