Sanssurprise, elle a donc été choisie pour venir à la ferme, à l'instar d' Alicia, une belle bretonne de 29 ans. S'il a un court instant changé
Il y a quelques mois d’ici, ce jardinier n’avait encore jamais mis les mains dans la terre… Depuis le printemps, il a multiplié les constructions de bacs potager et s'est essayé à la culture de nombreux légumes, avec un succès qu'il n'avait pas imaginé. Sa passion ne cesse de croître et pourrait, à ce rythme, devenir le futur métier de Jérôme. À 37 ans, cet habitant de Lanaye, dans la commune de Visé, s'est découvert une passion pour le potager. Il passe des heures à bricoler de nouveaux bacs surélevés afin de cultiver de plus en plus de légumes destinés avant tout à nourrir ses proches. À l’heure où la cueillette des potirons n'est pas encore terminée, il en est déjà à 600 kilos de légumes récoltés, fruit de son travail acharné ces derniers mois. Et son projet est en train de prendre de plus en plus d’ampleur, à tel point que le père de famille pense tout doucement à se reconvertir dans ce secteur. “J’ai démarré un projet de potager surélevé au fond de mon jardin au mois de mars, nous a écrit Jérôme via le bouton orange Alertez-nous. J’y ai construit 3 bacs de 6m x 1,70m et 1 bac de 4m x 1,20m. Ils sont remplis avec du bois, de l’herbe, de la paille, du broyât, et je termine par du vieux compost, il n’y a donc pas de terre proprement dit. J’ai créé une page Facebook, et petit à petit, j’y ai ajouté des photos. J’ai été vite débordé de demande en légumes, ce qui m’a fait agrandir de 5 bacs supplémentaires". Et ce n’est qu’un début ! Tout commence au printemps dernier, lorsque l’ouvrier dans l’aéronautique, se retrouve au chômage forcé puisque l’entreprise qui l’emploie est à l’arrêt suite au confinement. Il visionne alors de nombreuses vidéos de jardinage sur YouTube, ce qui lui donne envie de se lancer. Parmi les vidéos qu'il regarde chaque soir, il est interpellé par les images de potagers installés sur les toits de Paris. Cette idée est aussi alimentée par sa réflexion quant à notre manière de consommer. “Pendant le confinement, on a eu envie de manger mieux. Les tomates de supermarché n’ont pas de goût, c’est rempli d’eau”, lance-t-il. Il a alors envie de produire lui-même ses légumes. Il a du temps devant lui, et l'espace suffisant dans son jardin pour se lancer. Les 4 premiers potagers Le jardinier en herbe met pratique son projet grâce aux matériaux qu'il peut récupérer dans un jardin en friche à côté de chez lui. "Chez mon voisin, il y avait des tas de terreau vieux de 10 ans ainsi que du bois. Il m'a laissé me servir", raconte Jérôme. Nous sommes alors au printemps 2021 et le trentenaire se lance dans la construction des 4 premiers potagers surélevés. "Les quatre premiers sont maçonnés car il s'agit de potagers prévus pour durer 'à vie'. J'en ai conçu trois de 5 mètres et demi de long et 1 mètre et demi de large. Ils font 80 cm de haut pour permettre un accès facile. Le 4e, un peu plus petit, fait 40 cm de haut et possède un toit pour que les tomates soient à l’abri des intempéries… Grâce à cela, je n'ai pas eu le mildiou", note Jérôme. Pour remplir ses bacs, il utilise la technique de lasagnes, comme celles pratiquées en permaculture. Il s'agit de superposer les différentes couches de matériaux en décomposition sur lesquelles on plante directement. "J'ai utilisé tout ce que j’avais comme déchets organiques et j'y ai ajouté le vieux compost récupéré chez le voisin. J’ai tout paillé et j’ai planté des potimarrons, potirons, tomates, butternut, etc. Tout a super bien pris !", explique le jardinier. Il ne met donc pas de terre à proprement parlé dans les 4 premiers potagers surélevés, privilégiant cette technique de la "butte vivante". Ce qui permet de ne pas devoir mettre de terre, c'est l'utilisation du "vieux compost" récupéré dans le jardin en friche à côté de chez lui. "Dès que j'ai mis un coup de pelle dedans pour remplir la première brouette, j'ai vu des dizaines de vers de terre", commente-t-il encore. La présence de vers de terre en dit long sur la richesse de cette terre que le jeune homme n'a qu'à ramasser pour mettre en place son projet. Cela demande beaucoup de travail, mais tout est à portée de main. Très concrètement, il remplit d'abord ces 4 bacs de bois de récupération buches et branches trouvées chez le voisin. Il y ajoute ensuite du broyat il s'agit de branchages broyés en petits morceaux, "pour combler les trous entre les branches", explique-t-il. Il met ensuite de la paille, du foin et le compost. Il y met même directement ses déchets de cuisine, qu'il enterre. "Ça composte très rapidement", commente-t-il. Tout cela lui prend "un temps fou", reconnait Jérôme, mais il ne regrette rien lorsque, quelques semaines plus tard, il compte 65 potirons en train de murir et plus de 160 courgettes ! ©Le potager de Lanaye Une page Facebook et un intérêt croissant pour son potager Fier du beau potager en devenir qu'il construit, Jérôme créée une page Facebook et très rapidement, plusieurs personnes de son entourage et de son village lui demandent d'acheter des légumes. Dans un premier temps, il privilégie le troc "J’ai demandé aux gens de me laisser leurs déchets de cuisine et ils venaient me les déposer. Je leur ai proposé de prendre des légumes en échange", raconte encore le jardinier. Tomates, potimarrons, potirons, butternuts, courgettes, haricots, radis, poireaux… il cultive tout ce qu'il peut et tombe rapidement à court de place, d'autant que la demande augmente pour bénéficier de ses légumes grâce à la notoriété qu'il acquiert dans son village, à Lanaye, mais aussi sur Facebook où sa page attire aujourd'hui plus de 1700 abonnés. Parmi eux, bon nombre de clients potentiels pour ses légumes. 5 bacs supplémentaires Jérôme décide alors de construire 5 bacs de plus pour répondre à la demande. Il les fabrique en bois mais face au coût élevé des matières premières et notamment du bois, il doit diminuer un peu la hauteur. Il fabrique des potagers de 40 cm de haut, mais avec la possibilité de les rehausser par la suite. Il les remplit de restes végétaux par exemple, les plants de haricots en fin de saison, de paille, et de terre végétale. Cette fois, comme il est à court de vieux terreau du voisin, il commande de la terre enrichie en compost pour les remplir. Il y ajoute ensuite des vers de terre "Je les recueille dans les autres bacs et je les ajoute aux nouveaux afin qu'ils fassent de l'humus". Les vers de terre assurent la fertilité du potager. Ils recyclent les matières organiques et labourent sans cesse la terre. Là où il y a des vers, c'est que la terre est de bonne qualité. ©Le potager de Lanaye ©Le potager de Lanaye ©Le potager de Lanaye Une cagnotte participative pour aller plus loin Pour donner un coup de pouce à son projet, Jérôme lance alors une cagnotte sur la plate-forme participative Miimosa. Il y inscrit plusieurs objectifs/étapes afin de permettre de financer l'agrandissement de sa "micro-ferme". Les personnes qui apportent une contribution financière reçoivent en retour un panier de légumes du potager de Lanaye. Cette cagnotte lui a déjà permis de fabriquer 10 bacs en bois supplémentaire, courant septembre. Les contributeurs ont pu venir visiter le potager de Jérôme le week-end dernier, lors d'une journée de rencontre. Prochains objectifs il veut installer une serre, puis 10 bacs potager de plus. Jérôme a jusqu'à présent privilégié l'échange et s'est constitué une clientèle potentielle "Je ne vends pas grand-chose pour le moment, j’essaye de récupérer mes graines, d'échanger, de parler avec les gens, de me faire connaitre. J’ai envie que les gens mangent bien", lance-t-il avec optimisme. Des projets mais pas trop vite Le Lanayen adore d'ailleurs voir ses deux petits garçons dévorer ses légumes tout juste cueillis dans le potager. Il envisage un jour d'arrêter de travailler pour faire de sa passion son métier, mais il ne veut pas brûler les étapes. Il pourrait déjà vendre ses paniers de légumes mais tant que tout n'est pas en place, il n'y pense pas trop. Le jardinier construit d'abord sa micro-ferme grâce aux contributeurs, étape par étape. "Je ne veux pas tout de suite arrêter de travailler. Je veux d’abord passer à 4/5e ou à mi-temps. Je préfère perdre 500 euros mais m’occuper de mon potager et voir mes enfants grandir", explique le jeune papa. D'ici le printemps prochain, il compte construire 10 bacs supplémentaires pour arriver à 30. Il aimerait aussi installer une serra afin d'y faire pousser des légumes ayant besoin de davantage de chaleur comme les poivrons et les piments. Il aimerait également acheter des coureurs indiens. Il s'agit d'une espèce de canards particulièrement friands de limaces, souvent ennemis du potager. "Ils vont pouvoir passer entre les bacs mais pas aller dans les bacs. Ils vont ainsi réguler la population autour des bacs et j’en aurai d’office moins", précise-t-il. Pourquoi des potagers surélevés ? Pour qu'ils ne fassent pas trop dégâts aux plantations, il compte également rehausser tous les bacs potagers de 40 à 60 cm de haut. Le fait de surélever ses potagers comporte de sérieux avantages. "Premier avantage contre mal de dos, c’est la raison principale. Il ne faut plus se baisser autant. Ça permet de travailler plus précisément aussi. Et puis ça évite la pousse d'adventices NDL, souvent appelées mauvaises herbes. Sur chaque bac, je fais un paillage avec du pellet de lin et cette fine couche en plus d'un arrosage va créer une croute qui permet d'évite la pousse des adventices", précise le jardinier. Enfin, ces potagers en hauteur permettent bien moins aux limaces d'arriver jusqu'aux légumes. La saison prochaine, les canards l'y aideront encore plus. De beaux projets attendent encore Jérôme pour les mois à venir, et face à tout le travail déjà accompli, Jérôme se réjouit de sa récolte alors que la saison des courges et potirons n'est pas encore terminée, il en est à plus 600 kilos de légumes produits dans ses potagers surélevés. Sur sa page Facebook et grâce à la cagnotte participative, il a aussi reçu de très nombreux encouragements. "Tout le monde veut mes légumes, parfois, je ne connais même pas les gens. Je ne pensais pas avoir tant de monde qui adhère. Les gens posent plein de questions, j’explique le projet et direct ils adhèrent et ils donnent plus parce qu'ils se rendent compte du travail qui a été accompli. C’est pour ça que j’ai fait la cagnotte. Et derrière, je suis honnête, je fais des 'live' sur Facebook pour montrer aux gens ce que j’avais fait de l’argent qui a été investi", conclut le jardinier. ©Le potager de Lanaye ©Le potager de Lanaye
Lahiérarchie allemande ayant voulu étouffé l'affaire. Mais maintenant que la jeune femme a découvert les lettres de son père, elle est bien décidée à faire la lumière sur cette affaire. Spécificités : - Tirage limité à 1.500 exemplaires - 56 pages , dont 8 pages de croquis et recherches - Dos toilé rouge
INTERVIEW. Avec son mari, Jérôme, et leurs enfants, Lilly et Margot, Élise a choisi de vivre à la ferme*. À découvrir dans Ma Famille est dans le pré, qui a été diffusé samedi 21 avril à 20h50, sur 20 ans, vous vouliez devenir architecte. Qu'est-ce qui vous a fait bifurquer vers la ferme ? Élise La rencontre avec Jérôme, mon futur mari. Ses parents étaient exploitants, producteurs de céréales et éleveurs de vaches à lait, et il s'était formé en boucherie-charcuterie pour reprendre l'exploitation et la développer. Quand on a décidé de se mettre ensemble, j'ai arrêté mes études d'archi et je me suis formée à la fabrication des fromages de lait de chèvre. On a démarré avec sept chèvres, aujourd'hui on en a trente, ce qui reste un petit élevage pour notre région Alsace, ndlr, et on a aussi une centaine de avez deux filles de 5 et 3 ans. Comprennent-elles le privilège de vivre à la ferme ? Non, probablement pas, elles comprendront plus tard. Il y a du positif et du moins facile. Quand on peut prendre le temps tous les quatre, un dimanche, de regarder quelques minutes nos chèvres qui broutent au soleil ; quand Jérôme leur cuisine des petits plats avec les légumes frais et la viande qu'il a lui-même préparée ; Quand je peux emmener Lily à l'école à cheval... À côté de ça, on n'a pas de temps pour nous et elles ont appris très tôt à jouer seules...À quoi ressemble l'une de vos journées ? En ce moment, je me lève vers 5h30, direction l'étable pour traire les chèvres et nourrir les animaux. Ensuite on réveille les filles pour un petit déjeuner ensemble, l'aînée part à l'école et Margot vient avec moi à la fromagerie. J'y reste toute la matinée, pour fabriquer 700 yaourts ou des fromages... On déjeune tous les quatre, et puis l'après-midi je gère la paperasse, avant la deuxième traite de 17 vendez-vous votre production ? Directement chez, la Ferme aux Pampilles, le samedi matin, et sur les marchés ou chez des maraîchers la semaine. Toute notre production est achetée dans un rayon de cinq kilomètres. L'année dernière, j'ai quand même vendu 22 000 yaourts !Votre installation a nécessité des investissements lourds. Vous en vivez aujourd'hui ?On a encore un gros emprunt de 5 500 euros à rembourser chaque mois, des factures très lourdes, mais on s'en sort. C'est un choix de vie que nous ne regrettons pas !Vous finissez petit à petit les travaux dans la maison. On a emménagé en janvier, après des années de mobile home ! On est enfin au chaud dans le mobile home, il faisait 8 degrés l'hiver...*Ferme aux Pampilles, Masevaux Haut-Rhin. Inscrivez-vous à la Newsletter de pour recevoir gratuitement les dernières actualités
Cemardi 12 octobre, Jérôme et Lucile ont partagé la nouvelle : ils sont devenus parents. Et le parrain de la petite fille n'est autre qu'un célèbre candidat de l'émission de M6.
Laurent et Céline Couve accueillent des stages équestres, offrent du camping à la ferme et proposent aux visiteurs de suivre les travaux agricoles, la traite manuelle le matin. Tenir le pis fermement, serrer en haut, puis presser pour faire sortir le lait… Cela paraît simple, surtout quand on voit Laurent Couve, de la ferme équestre du Mazel à Antrenas, s’occuper de sa vache vosgienne, Iana. Le lait coule à jet continu dans le seau. Pas si facile quand on prend sa place. Tous les matins, l’agriculteur propose aux stagiaires du centre équestre, aux vacanciers de son camping à la ferme, ou aux touristes de passage, de suivre cette traite à l’ancienne. Mais, pour respecter les visiteurs, la vache et son veau sont priés d’attendre 9 h quand d’habitude, les choses se passent un peu plus tôt ! Le travail à l'ancienne À côté de la cinquantaine de montures de la ferme équestre, chevaux, poneys et ânes, Laurent et Céline Couve élèvent aussi quelques vaches, vosgiennes ou aubracs, des brebis lacaune et des chèves du Massif Central, roves ou alpines. La visite permet donc de découvrir ces animaux. Le couple produit actuellement du lait pour la consommation de la ferme, mais souhaiterait d’ici un ou deux ans, produire suffisamment pour une transformation fromagère et de la vente directe. "Nous avons pour objectif de créer un atelier. Nous avons beaucoup de passage, nous aurons la clientèle", explique Laurent Couve, qui aime à perpétuer les traditions de la ferme, à retrouver l’autonomie d’antan et travaille uniquement en traction animale. Culture de céréales anciennes Prochainement, il devrait moissonner avec un cheval et une javeleuse, puis utiliser une vieille lieuse qu’il est en train de restaurer. "Fin août, début septembre, nous ferons la fête de la batteuse, avec un cheval toujours. C’est un cycle complet puisque nous faisons notre pain." Le four du hameau sera alors allumé une semaine à l’avance. Sur l’exploitation, des céréales anciennes sont cultivées petit et grand épeautre, blé rouge de Bordeaux. "Historiquement ici, c’était plutôt du seigle. On a un rendement cent fois inférieur aux exploitations classiques, s’amuse Laurent Couve. Mais, nous avons des convictions et nous trouvons ça chouette. Bien sûr, ce que l’on fait aujourd’hui ne pourrait pas nourrir le monde." Partager sa passion Le message passe auprès des visiteurs attentifs. Des pratiques qui ne nourrissent plus la planète mais qui ne la polluent pas non plus. Ceux qui viennent jusqu’au Mazel, appréciant ce petit coin de paradis, ne peuvent qu’acquiescer. Laurent Couve poursuit, se fait très pédagogique, explique les estives sur l’Aubrac et la transhumance. Il partage sa passion du territoire avec générosité. Un moment privilégié.
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Lucile et Jérôme se sont rencontrés lors de la saison 15 de L’amour est dans le pré. Il s’agit d’un véritable coup de foudre pour l’agriculteur et sa prétendante. Le public avait des étoiles dans les yeux et des papillons dans le ventre à les regarder tous les deux. Et eux ressentaient au moins autant de bonheur. Au moment du bilan de la saison, Lucile et Jérôme étaient heureux de se dire toujours très proches et très amoureux après six mois de relation. À présent, il s’est écoulé encore plusieurs mois depuis le bilan. Où en sont donc les tourtereaux ? Lucile et Jérôme ont une grande annonce à partager avec leurs fans Les deux amoureux ont fait rêver le public depuis qu’ils se sont rencontrés. Ils nous ont fait traverser des émotions fortes ! Leur coup de foudre a crevé l’écran et encore aujourd’hui, ils flottent donc sur un petit nuage. Ils encouragent donc les personnes hésitantes à participer à L’amour est dans le pré sans réserves. Lucile et Jérôme avouent s’aimer de plus en plus tous les jours. Conscients d’être encore sur un petit nuage, ils souhaitent que cela dure le plus longtemps possible mais ne se voilent pas la face. En effet, ils savent que les premiers temps d’une historie d’amour sont bien souvent beaucoup plus faciles que les années suivantes. Alors, ils veulent prendre leurs temps pour mettre leurs projets en place. Ils profitent tout simplement de s’être trouvés et continuent de développer leurs activités. Malgré tout leur discours empli de sagesse, ils ne cachent pas avoir envie de devenir parents et de se marier. Déjà lors du bilan de la saison 15 de L’amour est dans le pré, Lucile et Jérôme évoquaient ces grands projets de vie avec des étoiles dans les yeux. Sont-ils déjà en train d’essayer de faire un bébé ? Sinon quelle est la grande nouvelle qu’ils souhaitent annoncer à leurs fans ? Un projet de vie de couple complet, vie professionnelle et vie personnelle à deux Lucile et Jérôme ne séparent pas les choses quant à leurs vies quotidiennes. Ils vivent sous le même toit et ont de grands projets dans tous les domaines. Depuis le séjour de Lucile dans la ferme de Jérôme, elle n’a plus quitté les lieux. Inséparables, ils travaillent ensemble et construisent à quatre mains leurs projets d’avenir. Que ce soit de rêver d’enfants et de mariage ou de développer l’entreprise de Jérôme, le couple ne recule devant rien. Si les bébés, nous l’avons compris, pourraient arriver incessamment sous peu, Lucile et Jérôme ne manqueront pas de tenir informés leurs fans. À travers leurs compte Instagram qu’ils partagent tous les deux, ils sont très connectés. Pour ce qui est du mariage, les amoureux ont là aussi été très clairs, ce n’est qu’après la crise sanitaire qu’ils envisageront de se lancer. Avoir tous les proches auprès d’eux est essentiel. Et ils semblent considérer leur union comme une grande étape inévitable mais préfèrent se laisser du temps. Tandis que pour le bébé, ils admettent volontiers que c’est leur désir le plus fort à l’heure actuelle. L’amour est dans le pré La grande nouvelle du couple La grande nouvelle sera donc à chercher du côté de l’aspect professionnel de la vie des tourtereaux. En effet, après le bel accueil du lancement de leur site de vente en ligne, ils ont refait les stocks. Lucile et Jérôme sont prêts à envoyer des bocaux par centaines. Des soupes, des veloutés, des purées et des terrines sont disponibles sur le site internet de Lucile et Jérôme. Tous les produits sont issus de l’exploitation agricole familiale. Et comme vous avec pu le voir dans L’amour est dans le pré, c’est avec un soin tout particulier que la ferme de Jérôme est traitée. C’est ce que l’on appelle de l’agriculture raisonnée. Lucile et Jérôme auront certainement bientôt d’autres nouvelles à annoncer. En effet, d’après toutes leurs interventions sur les réseaux sociaux, l’annonce d’un heureux événement ne saurait tarder. Loin de nous l’idée de leur mettre la moindre pression. Mais il faut bien avouer que les fans de L’amour est dans le pré seraient aux anges d’apprendre que Lucile et Jérôme deviennent parents ! Encore un peu de patience donc, et tout le monde croise les doigts !
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La grande famille de "L'amour est dans le pré" vient en aide à Maud et Laurent. Le couple, dont l'exploitation a subi la sécheresse, est en difficulté financière. Plusieurs camarades de l'émission de dating se sont lancés dans de belles initiatives pour les aider. Actuellement dans une situation financière compliquée, Maud et Laurent, peuvent compter sur le soutien de leurs camarades de L'amour est dans le pré. Le couple, qui s'est rencontré en 2019 dans l'émission de dating de M6, qui a perdu beaucoup d'argent et s'inquiète pour l'avenir de la ferme, est épaulé par plusieurs agriculteurs connus. C'est sur Instagram ce lundi 21 septembre 2020 que la belle nouvelle a été annoncée. "100% pour la ferme de Laurent et Maud ! Plus qu'une émission télé, une famille, plus qu'un métier, un mode de vie, peut-on lire sur le compte de Pierre et Fred, participants à l'émission en 2012 et producteurs d'armagnac dans le Gers. Nous sommes trois couples d'agriculteurs de L'amour est dans le pré, avec Claire et Sébastien saison 10, producteurs de canards et d'oies du Gers, et avec Virginie et Thomas saison 9 vignerons champenois, qui nous unissons pour mettre notre savoir-faire et notre production au service d'une bonne cause. Nous serons présents aux côtés de Maud et Laurent les 26 et 27 septembre à Saint-Hilaire en Morvan, pour leur week-end d'entraide avec d'autres agriculteurs ADP." Pierre et Fred proposeront ainsi trois produits de leur production à la vente. Et l'intégralité du prix des ventes sera reversée à la cagnotte pour aider Maud et Laurent. De son côté, Maud a partagé des photos de la ferme en plein chantier nettoyage. "Opération grand ménage pour le week-end prochain, lance-t-elle en légende. Souffler la paille, décaper les murs et sols au karcher... Du rangement un peu partout, débroussaillage, curage et transport de terre et cailloux pour que tout soit propre. Heureusement que nous avons quelques amis pour nous aider. Il y a encore du boulot, mais nous serons prêts pour accueillir tout le monde. Ce sera un très beau week-end." Une belle solidarité de la part des agriculteurs de L'amour est dans le pré, réunis pour aider Maud et Laurent à remonter la pente et sauver leur ferme. En août 2020, auprès de Télé Loisirs, Maud a pris la parole. "C'est compliqué pour Laurent, car c'est la cinquième génération. Pour lui, c'est un échec de se dire qu'il n'y arrive pas, avait-elle lancé. Mais c'est compliqué pour tout le monde. On a la force de continuer, on se bat. Il faut essayer. Je suis sûre qu'on va y arriver... Mais on a besoin d'un coup de pouce... Aujourd'hui, je tiens à ce que l'on sauve la ferme." Rappelons que Maud et Laurent ont besoin de 53 000 euros pour aller de l'avant. Aujourd'hui, 17 170 euros ont été récoltés via une cagnotte. Les donateurs ont encore 18 jours pour participer.
Précédent3 456 7 Suivant Le médecin Volant malgré lui ! Spectacle Saint-Valery-sur-Somme 80230 Le 26/08/2022 LE MÉDECIN VOLANT Valère aime Lucile, et Lucile aime Valère. Tout irait pour le mieux si le père de Lucile, Gorgibus, dominé par l'avarice, n'avait pas choisi pour sa fille Villebrequin : un homme certes riche, mais vieux et laid comme un pou.
Alors que Jérôme et Lucile sont déjà très occupés avec les préparatifs de leur mariage, ils ont trouvé le temps de mettre en boîte un nouveau projet ! Leur bonne fée Karine Le Marchand y a même participé. Sur Instagram, le couple en a dit plus sur le sujet. Jérôme et Lucile ont décidément bien fait de participer à L’amour est dans le pré. Les téléspectateurs ont suivi leur belle histoire en 2020 et depuis, ils s’épanouissent toujours autant l’un avec l’autre. Mieux encore, l’agriculteur et sa moitié ont déjà agrandi leur famille en accueillant leur fille Capucine en octobre 2021. Deux mois plus tard, en décembre, Jérôme demandait Lucile en mariage. La cérémonie doit avoir lieu cet été et le couple est actuellement en plein dans les préparatifs. La jeune femme a même d’ores et déjà eu droit à son enterrement de vie de jeune fille. Le planning est donc chargé depuis un petit moment et pourtant, dans le secret, Jérôme et Lucile ont réalisé un autre projet. Sur Instagram, ils ont révélé s’être adonnés à l’écriture d’un livre intitulé Les recettes de Jérôme et Lucile, dont la sortie est prévue à la rentrée 2022. Comme son nom l’indique, les ex-candidats de M6 espèrent conseiller au mieux leurs fans pour manger gourmand et sain. Et surprise, Karine Le Marchand a apporté sa petite touche. En effet, comme on le remarque sur la couverture, il est écrit que l’animatrice de L’amour est dans le pré a écrit la préface. Merci Editions Leduc, merci Julien The Access, merci Karine Le Marchand. Et surtout, merci à vous tous, pour tout votre amour qui nous accompagne depuis maintenant bientôt 2 ans, depuis nos premiers pas à 2, vous êtes les premiers témoins de notre amour… On vous aime , se sont réjouis Jérôme et Lucile en légende de leur publication. A travers un autre post, Lucile expliquait avoir développé un véritable amour pour la cuisine depuis sa rencontre avec Jérôme, et surtout depuis l’arrivée de leur fille dans leur vie. Jérôme a eu une éducation culinaire avec la vie à la ferme depuis tout petit grâce à sa maman. Il m’a montré le chemin comme il sait si bien le faire avec beaucoup d’amour et de patience. Et puis tout a pris une nouvelle dimension avec Capucine. Cuisiner est devenu beaucoup plus évident et naturel pour moi comme une nécessité de transmettre à notre fille le fondement de notre rencontre. Alors non je ne suis pas une grande cheffe, mais je prends maintenant du plaisir à découvrir de nouveaux goûts », avait-elle confié. Les internautes ont rapidement félicité le couple pour ce nouveau projet en commentaires.
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jérôme et lucile vente à la ferme